« Bruxelles, c’est toujours descendre et monter », s’essouffle Beirgitta. « Rien qu’ici, l’avenue de Tervuren, elle monte sérieusement. Pour moi c’est du sport, j’adore. Mais plusieurs de mes collègues, passé la cinquantaine, refusent le vélo sur le chemin du travail le matin. Dernièrement, une amie a préféré s’acheter un vélo électrique », argumente la jeune Allemande.
C'est justement ça l’idée : intégrer « un modèle mieux adapté à la topographie extrêmement vallonnée de la ville » à la collection des Villos. La députée libérale Anne-Charlotte d’Ursel a saisi le Secrétaire d’Etat à la mobilité de la question. « S’il y a des obstacles techniques, il faut tenter de les résoudre », estime-t-elle.